Cameco présente ses résultats pour le
premier trimestre : les perspectives pour 2024 restent solides ; la
discipline financière et la solide position de trésorerie
conduisent à une réduction ciblée de la dette ; sur le plan
opérationnel, les différents segments performent comme prévu ; les
qualités de l’énergie nucléaire de base attirent des
investissements dans le secteur technologique
Cameco (TSX : CCO ; NYSE : CCJ) a présenté aujourd’hui ses
résultats d’exploitation et financiers consolidés pour le premier
trimestre clos au 31 mars 2024, en conformité avec les normes
internationales d'information financière (IFRS).
« Au premier trimestre, la performance opérationnelle a été
forte dans l’ensemble de nos segments de l’uranium, des services
d’approvisionnement en combustible et Westinghouse. Les résultats
financiers sont en ligne avec les perspectives 2024 que nous avons
fournies, qui n’ont pas changé et illustrent, comme prévu, une
variabilité trimestrielle normale et la comptabilité d'acquisition
requise ainsi que d’autres coûts non opérationnels liés à
l’acquisition pour Westinghouse », a déclaré Tim Gitzel, président
et chef de la direction de Cameco.
« Notre stratégie continue de mettre en évidence les avantages
d’un alignement de nos décisions opérationnelles, de
commercialisation et financières ciblées sur un marché où nous
observons une dynamique positive soutenue pour l’énergie nucléaire,
jamais vue auparavant. Nous restons dans la position enviable de
disposer de ce qui est, selon nous, les meilleurs actifs de niveau
1 au monde, opérant dans des régions géopolitiques stables,
conjointement à nos investissements dans l’ensemble du cycle du
combustible et du cycle de vie des réacteurs. Cela inclut notre
investissement dans Westinghouse, entité pour laquelle nous
observons une poursuite de l’amélioration des perspectives
commerciales à long terme. En raison de notre statut de fournisseur
fiable et éprouvé, opérant dans l’ensemble du cycle du combustible
nucléaire, nos clients reconnaissent notre profonde compréhension
du fonctionnement des marchés du combustible nucléaire, et les
décideurs mondiaux s'adressent à nous en tant que leaders d'opinion
dans le secteur.
« Sur le plan opérationnel, les résultats de production du
premier trimestre ont été robustes et sont en phase avec nos plans
pour 2024, les rythmes de production et les coûts de production
totaux dans notre segment uranium continuant de refléter la
transition de retour à notre structure de coûts de premier plan.
Sur le marché, nous avons continué d’être sélectifs quant à
l’engagement de notre stock d'uranium de première qualité
disponible dans le sol et de notre capacité de conversion de l’UF
6, nous appuyant sur un portefeuille de contrats couvrant plus
d’une décennie en y ajoutant avec succès d’autres contrats à long
terme, portant ainsi nos engagement annuels à une moyenne d’environ
28 millions de livres par an entre 2024 et 2028. Chaque contrat que
nous ajoutons reflète le sentiment et la dynamique du marché au
moment où il est négocié, nous permettant de profiter d’un
potentiel haussier accru et de créer de la valeur tout en long de
la durée de vie du contrat. Dans une perspective financière avec
gestion du risque, notre attente qui en résulte – la production
d’un solide flux de trésorerie – guide nos priorités d’allocation
prudente du capital en 2024, avec une réduction ciblée de
l’endettement et des plans de refinancement prudents.
« Le support du cycle complet pour l’énergie nucléaire et du
combustible d'uranium requis continue de croître, avec un soutien
accru du public, des décisions politiques positives et des
solutions basées sur le marché qui renforcent les fondamentaux
favorables et l’histoire de la demande à long terme durable pour le
nucléaire. À l’occasion du premier Sommet de l'énergie nucléaire
qui s’est tenu à Bruxelles au mois de mars, des représentants de 32
pays ont uni leurs forces pour appuyer des mesures de soutien dans
des domaines comme le financement, la coopération réglementaire,
l’innovation technologique et la formation de la main-d'œuvre,
permettant une expansion de l’énergie nucléaire en vue de
contribuer à lutter contre le changement climatique et de renforcer
la sécurité énergétique.
« Les avantages de l’énergie nucléaire en tant qu’outil
essentiel dans la lutte contre le changement climatique et
l’avantage fourni par le nucléaire dans le contexte de la sécurité
énergétique sont non seulement reconnus et mis en exergue par des
gouvernements dans le monde entier, mais aussi par des secteurs
gourmands en énergie qui progressent plus rapidement que les
décideurs politiques pour effectuer une transition efficace vers
des sources d’énergie qui fournissent une électricité propre,
constante et fiable. Une augmentation du soutien public de la part
de leaders du secteur technologique et des annonces comme la
récente acquisition d’un campus de centre de données de 960 MW par
Amazon Web Services, assortie d’un accord à long terme connexe pour
garantir une fourniture d’électricité fiable à partir de la
centrale nucléaire Susquehanna de Talen Energy Corporation,
témoignent de cette orientation industrielle.
« Les événements géopolitiques qui ont amplifié les risques
mondiaux aux niveaux de la chaîne d’approvisionnement et des
transports continuent d’avoir d'importantes répercussions sur les
stratégies d’approvisionnement en combustible nucléaire des
clients. Les services publics ajustent leurs chaînes
d'approvisionnement afin de garantir un approvisionnement fiable,
dans un contexte de concurrence accrue pour conclure des contrats à
long terme pour les produits et services liés à l’uranium. Nous
nous attendons à ce que Cameco et Westinghouse, des producteurs
réputés de produits et services liés à l’uranium ayant attesté de
performances solides et durables, bénéficient des importants
facteurs favorables associés à la possession d’opérations sous
licence et autorisées dans des juridictions stables sur le plan
géopolitique.
« Nous sommes un fournisseur commercial responsable, avec un
bilan solide, des actifs de niveau 1 à long terme et des
antécédents d’exploitation avérés. Nous sommes investis dans
l’ensemble du cycle du combustible nucléaire et pensons avoir la
bonne stratégie pour accomplir notre vision consistant à “alimenter
un monde d'air pur” et y parvenir d’une manière reflétant nos
valeurs. Nos décisions sont imprégnées d’un engagement à faire face
aux risques et opportunités qui, selon nous, rendront notre
entreprise durable sur le long terme. »
- Nos perspectives pour 2024 restent solides : Nous sommes
bien partis pour réaliser en 2024 les prévisions annoncées dans
notre rapport de gestion 2023. Nous continuons à prévoir une forte
génération de trésorerie, avec un chiffres d’affaires consolidé
estimé compris entre environ 2,9 et 3,0 milliards de dollars. Nous
maintenons notre perspective d’un BAIIA ajusté compris entre 445 et
510 millions de dollars (M$) pour notre part dans Westinghouse en
2024. Veuillez consulter la rubrique Prévisions pour 2024 dans
notre rapport de gestion du premier trimestre pour de plus amples
renseignements. Le BAIIA ajusté attribuable à Westinghouse est une
mesure non IFRS, consultez la rubrique Mesures non IFRS
ci-dessous.
- Pour le T1, les pertes nettes se montent à 7 M$, le bénéfice
net ajusté s’établit à 56 M$ et le BAIIA ajusté atteint 345 M$
: Les résultats sont attribuables à des variations
trimestrielles normales dans les fournitures contractuelles dans
nos segments de l'uranium et des services d’approvisionnement en
combustible, et à l’ajout de Westinghouse. Les performances dans
notre segment clé de l’uranium ont été robustes avec un bénéfice
net en hausse de 34 % et un BAIIA ajusté en progression de 16 % par
rapport à la même période en 2023, principalement en raison d'une
augmentation de 27 % du prix moyen réalisé du dollar canadien,
compensé partiellement par la baisse des livraisons et la hausse du
coût des ventes attendues. Veuillez consulter la rubrique Résultats
financiers par segment – Uranium dans notre rapport de gestion du
premier trimestre pour de plus amples renseignements. Cependant,
comme indiqué dans notre rapport de gestion 2023, Westinghouse
devrait générer une perte nette comprise entre 170 et 230 M$ en
2024 en raison de l’impact de la comptabilité d'acquisition, qui
exige une revalorisation du stock et des autres actifs de
Westinghouse au moment de l’acquisition et la passation en charges
de certains coûts de transition hors exploitation liés à
l’acquisition. Dans la perte nette attendue pour Westinghouse en
2024, 123 M$ ont été encourus au premier trimestre en raison de la
variabilité normale des échéances des besoins de ses clients et de
ses calendriers de livraison et d’interruptions. Le premier
trimestre est généralement celui qui affiche les chiffres les moins
élevés pour Westinghouse, et l’on attend de meilleures performances
au cours du second semestre et des flux de trésorerie supérieurs au
quatrième trimestre. Nous ne pensons pas que l’impact de la
revalorisation du stock et des actifs de Westinghouse, ni que les
coûts de transition hors exploitation liés à l’acquisition,
reflètent sa performance sous-jacente pour la période considérée,
nous utilisons par conséquent le BAIIA ajusté comme indicateur de
la performance pour Westinghouse, lequel s’établit à 77 M$ pour le
premier trimestre. Veuillez consulter la rubrique Nos bénéfices
tirés de Westinghouse dans notre rapport de gestion du premier
trimestre pour de plus amples renseignements. Le bénéfice net
ajusté et le BAIIA ajusté sont des mesures non IFRS, consultez la
rubrique Mesures non IFRS ci-dessous.
- De robustes performances de production dans le segment
uranium : Dans notre segment uranium, nous avons produit 5,8
millions de livres (notre part) durant le trimestre, un chiffre en
augmentation par rapport aux 4,5 millions de livres (notre part)
produites pendant la même période de 2023. En raison de
l’augmentation de la production, le coût unitaire de production au
comptant est ressorti à 19,52 dollars par livre, en baisse de 16 %
par rapport à la même période en 2023. Le coût unitaire des ventes
a augmenté de 15 %, principalement en raison de l’impact des achats
à un prix plus élevé sur la valeur des stocks, incluant les achats
à Inkai. L'impact cash d’achats à Inkai à un coût supérieur sur le
coût unitaire moyen des ventes est partiellement compensé par les
dividendes que nous recevons de la coentreprise Inkai (JV Inkai).
Nos activités minières affichant de belles performances et Key Lake
fonctionnant selon les cadences de production planifiées, nous
maintenons pour 2024 notre prévision d'une production de 18
millions de livres (base 100 %) pour chacune des opérations de
McArthur River/Key Lake et Cigar Lake. Veuillez consulter la
rubrique Nos opérations – production d’uranium dans notre rapport
de gestion du premier trimestre pour de plus amples renseignements.
Nous continuons de planifier notre production afin d’être alignés
avec notre portefeuille de contrats et les besoins des clients,
mais aussi d’évaluer l'éventail de production, les stocks et les
achats optimaux afin de conserver la flexibilité nécessaire pour
créer de la valeur à long terme. Le coût décaissé par livre est une
mesure non IFRS, consultez la rubrique Mesures non IFRS
ci-dessous.
- Les contrats à long terme méthodiques continuent, maintenant
une exposition à des prix plus élevés : En date du 31 mars
2024, nous avions des engagements portant sur la livraison d’une
moyenne d’environ 28 millions de livres par an entre 2024 et 2028,
avec des niveaux d’engagement supérieurs à la moyenne en 2024 et
2025 et inférieurs à la moyenne entre 2026 et 2028. Alors que le
marché poursuit son amélioration, nous prévoyons la poursuite de
l’intégration progressive de volumes afin de bénéficier d’un
potentiel de croissance supérieur en utilisant des mécanismes de
tarification en lien avec le marché. Nous avons également des
contrats dans nos segments de l'uranium et des services
d’approvisionnement en combustible qui couvrent plus d’une décennie
et, dans notre segment uranium, bon nombre de ces contrats
bénéficient de mécanismes de tarification en lien avec le marché.
Par ailleurs, nous avons un pipeline important et croissant
d’activités en discussion qui, selon nous, contribueront à
développer davantage notre portefeuille de contrats à long
terme.
- Poursuite de la discipline financière et des liquidités
équilibrées pour mettre en œuvre la stratégie :
- Un bilan solide : En date du 31 mars 2024, nous
disposions de 323 M$ de trésorerie et équivalents de trésorerie et
avions une dette totale de 1,5 milliard de dollars. En outre, nous
disposons d’une facilité de découvert non utilisée de 1,0 milliard
de dollars, arrivant à maturité le 1er octobre 2027. En raison des
prix en hausse dans le cadre de notre portefeuille de contrats à
long terme, des progrès que nous réalisons dans notre segment
uranium vers le retour à notre structure de coûts de premier plan
et de l’augmentation prévue de notre production de conversion d’UF
6, nous nous attendons à constater une forte génération de
trésorerie en 2024.
- Une réduction ciblée de la dette : Grâce à notre
discipline financière avec gestion du risque et à notre solide
position de trésorerie, nous avons au premier trimestre donné la
priorité à une réduction de l’emprunt à terme à taux variable de
600 millions USD qui a servi à financer l’acquisition de
Westinghouse, remboursant 200 millions USD du capital. Nous
prévoyons de continuer à donner la priorité au remboursement des
400 millions USD restants du principal restant dû sur l’emprunt à
terme, tout en équilibrant notre position en matière de liquidités
et de trésorerie.
- Des plans de refinancement prudents : En accord avec la
gestion financière prudente dont nous avons fait preuve et nos
priorités d’allocation du capital pour 2024, nous prévoyons au
deuxième trimestre de refinancer, avant sa date d'échéance ou
lorsqu’elle arrive à terme, notre débenture de premier rang non
garantie d'une valeur de 500 M$ arrivant à maturité le 24 juin
2024.
- Dividendes reçus de la coentreprise Inkai en avril :
Subséquemment à la fin du trimestre, nous avons reçu un dividende
en espèces de 129 millions USD, déduction faite des retenues, de la
part de la coentreprise Inkai, sur la base de son rendement
financier de 2023. Du point de vue du flux de trésorerie, nous
prévoyons de profiter du rendement financier 2024 de la
coentreprise Inkai en 2025 lorsque le dividende pour 2024 aura été
déclaré et versé.
- Livraisons de la coentreprise Inkai : La deuxième
livraison contenant le reste de notre part de la production 2023
d’Inkai est arrivée en février 2024. Nous continuons de travailler
en étroite collaboration avec la coentreprise Inkai et avec
Kazatomprom, notre partenaire en coentreprise, pour recevoir notre
part de la production via la Route de transport international
transcaspienne, qui ne dépend pas des lignes ferroviaires ni des
ports russes. Nous pourrions connaître des retards dans nos
livraisons attendues d’Inkai cette année si le transport utilisant
ce couloir d’expédition prenait plus de temps que prévu. La
production d’Inkai a atteint 1,6 million de livres (base 100 %) au
cours du trimestre, contre 1,9 million de livres (base 100 %) au
cours de la même période l’an dernier. La coentreprise Inkai
rencontre actuellement des problèmes d'approvisionnement et de
chaîne logistique, notamment par rapport à la disponibilité d’acide
sulfurique. L’objectif de production actuel de la coentreprise
Inkai pour 2024 est de 8,3 millions de livres d’U 3 O 8 (base 100
%). Toutefois, cet objectif est indicatif et dépend de la réception
de volumes suffisants d’acide sulfurique. Notre allocation de la
production planifiée de la coentreprise Inkai fait actuellement
l'objet de discussions. Afin de limiter le risque de retards dans
les transports et de déficits de production, nous avons mis en
place des accords d'achat de stocks à long terme et des accords de
prêt sur lesquels nous pouvons compter.
Résultats financiers consolidés
TRIMESTRE
POINTS SAILLANTS
CLOS AU 31 MARS
(EN MILLIONS DE DOLLARS, SAUF MENTION
CONTRAIRE)
2024
2023
VARIATION
Chiffre d’affaires
634
687
(8)%
Marge brute
187
167
12%
Bénéfice (perte) net(te) attribuable aux
actionnaires
(7)
119
>(100)%
$ par action ordinaire (de base)
(0,02)
0,27
>(100)%
$ par action ordinaire (après
dilution)
(0,02)
0,27
>(100)%
Bénéfice net ajusté (BNA, non IFRS,
consulter la rubrique Mesures non IFRS ci-dessous)
56
115
(51)%
$ par action ordinaire (ajusté et après
dilution)
0,13
0,27
(52)%
BAIIA ajusté (non IFRS, consulter la
rubrique Mesures non IFRS ci-dessous)
345
226
53%
Encaisse issue des activités (après
variations du fonds de roulement)
63
215
(71)%
Les informations financières présentées pour le trimestre clos
au 31 mars 2023 et au 31 mars 2024 n’ont pas été auditées.
Sélection de points saillants segmentés
TRIMESTRE
POINTS SAILLANTS
CLOS AU 31 MARS
(EN MILLIONS DE DOLLARS, SAUF MENTION
CONTRAIRE)
2024
2023
VARIATION
Uranium
Volume de production (millions de
livres)
5,8
4,5
29%
Volume des ventes (millions de livres)
7,3
9,7
(25)%
Prix moyen réalisé 1
(USD/livre)
57,57
45,35
27%
($CAD/livre)
77,33
60,98
27%
Chiffre d’affaires
561
595
(6)%
Marge brute
169
137
23%
Bénéfice net attribuable aux
actionnaires
253
189
34%
BAIIA ajusté 2
303
261
16%
Services d’approvisionnement en
combustible
Volume de production (millions de kgU)
3,7
4,1
(10)%
Volume des ventes (millions de kgU)
1,5
2,5
(40)%
Prix moyen réalisé 3
($CAD/kgU)
48,36
37,66
28%
Chiffre d’affaires
72
92
(22)%
Bénéfice net attribuable aux
actionnaires
20
31
(35)%
BAIIA ajusté 2
25
39
(36)%
Marge du BAIIA ajusté (%) 2
35
42
(17)%
Westinghouse
Chiffre d’affaires
656
-
n/d
(notre part)
Perte nette
(123)
-
n/d
BAIIA ajusté 2
77
-
n/d
1 Le prix moyen réalisé de l’uranium est
calculé en divisant le revenu des ventes de concentré d’uranium,
les frais de transport et de stockage par le volume des concentrés
d’uranium vendus.
2 Mesure non IFRS, consultez la rubrique
Mesures non IFRS ci-dessous.
3 Le prix moyen réalisé des services
d'approvisionnement en combustible est calculé en divisant le
revenu de la vente de services de conversion et de fabrication, y
compris les grappes de combustible et les composants de réacteurs,
les frais de transport et de stockage par les volumes vendus.
Le tableau ci-dessous montre les dépenses engagées au cours des
périodes considérées pour l’uranium produit et acheté (consultez la
rubrique Mesures non IFRS ci-dessous). Ces coûts n’incluent pas les
coûts d'entretien et de maintenance, les frais de vente comme les
redevances, le transport et les commissions, et ils ne reflètent
pas l’impact des stocks d'ouverture sur notre coût des ventes
déclaré.
TRIMESTRE
CLOS AU 31 MARS
($CAD/LIVRE)
2024
2023
VARIATION
Production
Coût décaissé
19,52
23,13
(16)%
Dépense hors caisse
9,79
10,82
(10)%
Coût de production total 1
29,31
33,95
(14)%
Quantité produite (millions de livres)
1
5,8
4,5
29%
Achats
Coût monétaire 1
87,75
66,92
31%
Quantité achetée (millions de livres)
1
2,6
0,4
>100%
Totaux
Coûts de production et d’achat
47,40
36,64
29%
Quantités produites et achetées (millions
de livres)
8,4
4,9
71%
1 En raison de la comptabilisation à la
valeur de consolidation, notre part de la production de la
coentreprise Inkai est présentée comme un achat au moment de la
livraison. Ces achats vont fluctuer au cours des différents
trimestres et le calendrier des achats ne correspondra pas à la
production. Au cours du trimestre, nous avons acheté 1,1 million de
livres à la coentreprise Inkai à un prix par livre de 129,96
dollars (96,88 USD). Aucun achat à la coentreprise Inkai n’a eu
lieu au premier trimestre 2023.
Mesures non IFRS
Les mesures non IFRS mentionnées dans ce document sont des
mesures supplémentaires, qui servent d’indicateurs de notre
performance financière. La direction estime que ces mesures non
conformes aux IFRS fournissent des informations utiles aux
investisseurs, aux analystes en valeurs mobilières, aux prêteurs et
aux autres parties intéressées pour évaluer notre performance
opérationnelle et notre capacité à générer des flux de trésorerie
pour répondre à nos besoins de trésorerie. Ces mesures ne sont pas
des mesures reconnues en vertu des IFRS, n’ont pas de
significations normalisées et sont donc peu susceptibles d’être
comparables à des mesures présentées par d’autres sociétés sous la
même désignation. Ces mesures ne doivent donc pas être considérées
isolément ou comme un substitut aux informations financières
déclarées en vertu des IFRS. Voici les mesures non IFRS utilisées
dans le présent document.
BÉNÉFICE NET AJUSTÉ
Le bénéfice net ajusté est notre bénéfice net attribuable aux
actionnaires, ajusté pour tenir compte des éléments hors
exploitation et hors trésorerie tels que les gains et les pertes
sur produits dérivés, les ajustements à la provision de remise en
état qui découlent d’autres charges d’exploitation qui, selon nous,
ne reflètent pas le rendement financier sous-jacent pour la période
de référence. D’autres éléments peuvent également être ajustés de
temps à autre. Nous ajustons également cette mesure pour certains
des éléments que nos sociétés mises en équivalence prennent pour
parvenir à d’autres mesures non IFRS. Le bénéfice net ajusté est
l’une des cibles que nous mesurons pour constituer la base d’une
partie de la rémunération annuelle des employés et des dirigeants
(consultez la rubrique Mesures de nos résultats dans notre rapport
de gestion 2023).
Dans notre calcul du BNA, nous tenons compte des produits
dérivés. Nous n’utilisons pas la comptabilité de couverture au sens
des normes IFRS. Nous sommes donc tenus de déclarer les bénéfices
et les pertes pour chaque activité de couverture, aussi bien pour
les contrats se terminant durant la période que pour ceux qui sont
en cours à la fin de la période. Nous devons traiter les contrats
en cours comme s’ils étaient terminés à la fin de la période
considérée (à leur valeur de marché). Toutefois, nous estimons que
les bénéfices et les pertes que nous devons déclarer conformément
aux normes IFRS ne reflètent pas correctement l’esprit qui
sous-tend nos activités de couverture. C’est pourquoi nous
procédons à des ajustements lors du calcul du BNA afin de mieux
refléter l’impact de notre programme de couverture pour la période
considérée. Veuillez consulter la rubrique Opérations de change
dans notre rapport de gestion 2023 pour de plus amples
renseignements.
Nous procédons également à des modifications des provisions de
remise en état, qui sont directement comptabilisées dans le
bénéfice. Chaque trimestre, nous sommes tenus de mettre à jour les
provisions pour remise en état liées à toutes les opérations, en
fonction des nouvelles estimations de flux de trésorerie, des taux
d’actualisation et des taux d’inflation. Il en résulte
généralement, en plus du solde de la provision, un ajustement de
notre obligation liée à la mise hors service d’actifs. Lorsque les
actifs liés à une opération ont été radiés en raison d’une
dépréciation, comme c’est le cas pour nos activités de Rabbit Lake
et ISR aux États-Unis, l’ajustement est comptabilisé directement
dans le compte de résultat comme « autres charges (produits)
d’exploitation ». Pour plus d’informations, voir la note 10 de nos
états financiers intermédiaires. Ce montant a été exclu de notre
mesure du BNA.
En raison du changement de propriété de Westinghouse au moment
de son acquisition par Cameco et Brookfield, ses stocks à la date
d’acquisition ont été réévalués en fonction du prix de marché à
cette date. Au fur et à mesure que ces quantités sont vendues, le
coût pour Westinghouse des produits et services vendus reflète ces
valeurs marchandes, indépendamment des coûts historiques de
Westinghouse. Notre part de ces coûts est incluse dans les
bénéfices des sociétés mises en équivalence et enregistrée dans le
coût des produits et services vendus dans les informations sur les
sociétés émettrices (voir la note 7 des états financiers). Étant
donné que cette charge est hors trésorerie, en dehors du cours
normal des activités et qu’elle n’existe qu’en raison du changement
de propriété, nous avons exclu notre part de notre mesure du
BNA.
Westinghouse a également imputé certains coûts de transition
hors exploitation liés à l’acquisition que les parties acquérantes
ont accepté de payer, ce qui a conduit à une réduction du prix
d'achat payé. Notre part de ces coûts est incluse dans les
bénéfices des sociétés mises en équivalence et enregistrée dans les
autres charges dans les informations sur les sociétés émettrices
(voir la note 7 des états financiers). Étant donné que cette charge
est en dehors du cours normal des activités et qu’elle n’existe
qu’en raison du changement de propriété, nous avons exclu notre
part de notre mesure du BNA.
Afin de faciliter la compréhension de ces mesures, le tableau
ci-dessous présente un rapprochement du bénéfice net ajusté et de
notre bénéfice net pour le premier trimestre de 2024 et effectue
une comparaison avec la même période en 2023.
TRIMESTRE
CLOS AU 31 MARS
(EN MILLIONS $)
2024
2023
Bénéfice (perte) net(te) attribuable
aux actionnaires
(7)
119
Ajustements
Ajustements sur produits dérivés
33
(6)
Ajustements sur le bénéfice issu des
sociétés mises en équivalence
Comptabilisation des achats de stock
(après impôts)
38
-
Coûts de transition liés à l’acquisition
(après impôts)
14
-
Ajustements des autres revenus
d'exploitation
(15)
(2)
Impôts sur les bénéfices sur les
ajustements
(7)
4
Bénéfice net ajusté
56
115
Le tableau ci-dessous montre les facteurs de changement du
bénéfice net ajusté (une mesure non IFRS, voir ci-dessus) au cours
du premier trimestre 2024 par rapport à la même période en
2023.
TRIMESTRE
CLOS AU 31 MARS
(EN MILLIONS $)
IFRS
AJUSTÉ
Bénéfice net – 2023
119
115
Variation de la marge brute par
segment
(La marge brute est calculée en déduisant
du chiffre d’affaires le coût des produits et services vendus,
ainsi que la dépréciation et l'amortissement)
Uranium
Incidence des variations du volume des
ventes
(35)
(35)
Hausse des prix réalisés (USD)
119
119
Hausse des coûts
(52)
(52)
Variation – uranium
32
32
Services d’approvisionnement en
combustible
Incidence des variations du volume des
ventes
(12)
(12)
Hausse des prix réalisés ($CAD)
16
16
Hausse des coûts
(16)
(16)
Variation – services d’approvisionnement
en combustible
(12)
(12)
Autres variations
Baisse des dépenses d’administration
4
4
Hausse des dépenses d’exploration
(1)
(1)
Variation des provisions pour remise en
état
15
2
Baisse du bénéfice tiré des sociétés mises
en équivalence
(103)
(51)
Variation du bénéfice (perte) sur produits
dérivés
(43)
(4)
Variation des gains (pertes) de change
19
19
Baisse du résultat financier
(22)
(22)
Variation du recouvrement (charge)
d’impôts sur les bénéfices
5
(6)
Autres
(20)
(20)
Bénéfice (perte) net(te) – 2024
(7)
56
BAIIA
Le BAIIA est défini comme le bénéfice net attribuable aux
actionnaires, ajusté en fonction des coûts liés à l’impact de la
structure de capital et fiscale de la société, y compris les
dépréciations et amortissements, les revenus financiers, les
charges financières (y compris l’accumulation) et les impôts sur
les bénéfices.
BAIIA AJUSTÉ
Le BAIIA ajusté est défini comme le BAIIA ajusté pour tenir
compte de l’incidence de certains coûts ou bénéfices comptabilisés
au cours de la période, qui ne sont pas indicatifs de la
performance commerciale sous-jacente ou qui ont une incidence sur
la capacité d’évaluation de la performance opérationnelle de
l’entreprise. Ces ajustements comprennent les montants indiqués
dans la définition du bénéfice net ajusté.
Dans le calcul du BAIIA ajusté, nous ajustons également les
éléments inclus dans les résultats de nos sociétés mises en
équivalence qui ne sont pas des ajustements afin de parvenir à
notre mesure du BNA. Ces éléments sont déclarés dans la rubrique
des autres dépenses dans les informations financières de l'entité
émettrice et ne sont pas représentatifs des opérations
sous-jacentes. Il s’agit notamment des gains/pertes sur les
couvertures non désignées, des coûts de transaction, d’intégration
et de restructuration liés aux acquisitions et des gains/pertes sur
la cession d’une activité.
La société pourrait à l’avenir réaliser des gains similaires ou
engager des dépenses similaires.
MARGE DU BAIIA AJUSTÉ
La marge du BAIIA ajusté est définie comme le BAIIA ajusté
divisé par le chiffre d’affaires pour la période concernée.
Le BAIIA, le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté sont des
mesures non IFRS qui nous permettent, ainsi qu’aux autres
utilisateurs, d’évaluer les résultats des opérations dans une
perspective de gestion sans tenir compte de notre structure de
capital. Afin de permettre une meilleure compréhension de ces
mesures, le tableau ci-dessous établit un rapprochement entre le
bénéfice avant impôts sur les bénéfices et le BAIIA et le BAIIA
ajusté pour le premier trimestre des exercices 2024 et 2023.
Pour le trimestre clos au 31 mars 2024 :
SERVICES D’APPROVISIONNEMENT
(EN MILLIONS $)
URANIUM
EN COMBUSTIBLE
WESTINGHOUSE
AUTRES
TOTAL
Bénéfice (perte) net(te) attribuable
aux actionnaires
253
20
(123
)
(157
)
(7
)
Dépréciation et amortissement
37
5
-
1
43
Produits financiers
-
-
-
(6
)
(6
)
Charges financières
-
-
-
38
38
Impôts sur les bénéfices
-
-
-
31
31
290
25
(123
)
(93
)
99
Ajustements sur les sociétés mises en
équivalence
Dépréciation et amortissement
8
-
85
-
Revenus financiers
-
-
(2
)
-
Charges financières
-
-
64
-
Impôts sur les bénéfices
20
-
(37
)
-
Ajustements nets sur les sociétés mises en
équivalence
28
-
110
-
138
BAIIA
318
25
(13
)
(93
)
237
Bénéfice sur produits dérivés
-
-
-
33
33
Autres revenus d'exploitation
(15
)
-
-
-
(15
)
303
25
(13
)
(60
)
255
Ajustements sur les sociétés mises en
équivalence
Comptabilisation des achats de stock
-
-
50
-
Coûts de transition liés à
l'acquisition
-
-
19
-
Autres charges
-
-
21
-
Ajustements nets sur les sociétés mises en
équivalence
-
-
90
-
90
BAIIA ajusté
303
25
77
(60
)
345
Pour le trimestre clos au 31 mars 2023
:
SERVICES D’APPROVISIONNEMENT
(EN MILLIONS $)
URANIUM
EN COMBUSTIBLE
AUTRES
TOTAL
Bénéfice (perte) net(te) attribuable
aux actionnaires
189
31
(101
)
119
Dépréciation et amortissement
68
8
1
77
Revenus financiers
-
-
(28
)
(28
)
Charges financières
-
-
24
24
Impôts sur les bénéfices
-
-
36
36
257
39
(68
)
228
Ajustements sur les sociétés mises en
équivalence
Dépréciation et amortissement
2
-
-
-
Impôts sur les bénéfices
4
-
-
-
Ajustements nets sur les sociétés mises en
équivalence
6
-
-
6
BAIIA
263
39
(68
)
234
Perte sur produits dérivés
-
-
(6
)
(6
)
Autres revenus d'exploitation
(2
)
-
-
(2
)
BAIIA ajusté
261
39
(74
)
226
COÛT DÉCAISSÉ PAR LIVRE, DÉPENSE HORS CAISSE PAR LIVRE ET
COÛT TOTAL PAR LIVRE POUR L’URANIUM PRODUIT ET ACHETÉ
Le coût décaissé par livre, la dépense hors caisse par livre et
le coût total par livre pour l’uranium produit et acheté sont des
mesures non IFRS. Nous utilisons ces mesures pour évaluer la
performance de notre activité uranium. Ces mesures ne sont pas
nécessairement indicatives du résultat d'exploitation ou du flux de
trésorerie issu des activités tels que déterminés selon les
IFRS.
Afin de permettre une meilleure compréhension de ces mesures, le
tableau ci-dessous établit un rapprochement entre le coût des
produits vendus et la dépréciation et l'amortissement pour le
premier trimestre de 2024 et 2023.
TRIMESTRE
CLOS AU 31 MARS
(EN MILLIONS $)
2024
2023
Coût des produits vendus
355,9
390,0
Ajouter / (soustraire)
Redevances
(17,8)
(24,7)
Coûts d'entretien et de maintenance
(12,2)
(11,9)
Autres coûts de vente
(4,9)
(2,7)
Variation des stocks
20,4
(219,8)
Coûts d'exploitation au comptant
(a)
341,4
130,9
Ajouter / (soustraire)
Dépréciation et amortissement
36,7
67,9
Coûts d'entretien et de maintenance
(0,2)
(1,6)
Variation des stocks
20,3
(17,6)
Coûts d'exploitation totaux (b)
398,2
179,6
Uranium produit et acheté (millions de
livres) (c)
8,4
4,9
Coûts décaissés par livre (a ÷
c)
40,64
26,71
Coûts totaux par livre (b ÷ c)
47,40
36,64
Rapport de gestion et états financiers
Le rapport de gestion et les états financiers consolidés
condensés intérimaires non audités du premier trimestre fournissent
une explication détaillée de nos résultats d’exploitation pour le
trimestre clos au 31 mars 2024, par rapport à la même période de
l’an dernier. Le présent communiqué de presse doit être consulté
parallèlement à ces documents, ainsi que nos états financiers
consolidés audités et notes pour l’exercice clos au 31 décembre
2023, et le rapport de gestion annuel, ainsi que notre notice
annuelle la plus récente, tous disponibles sur notre site Internet
à l’adresse cameco.com, sur SEDAR+ à l’adresse www.sedarplus.com et
sur EDGAR à l’adresse sec.gov/edgar.shtml.
Personnes qualifiées
Les informations techniques et scientifiques fournies dans le
présent document au sujet de nos actifs physiques de McArthur
River/Key Lake, Cigar Lake et Inkai ont été approuvées par les
personnes suivantes, qui sont des personnes qualifiées aux fins du
Règlement 43-101 :
MCARTHUR RIVER/KEY LAKE
- Greg Murdock, directeur général, McArthur River, Cameco
- Daley McIntyre, directrice générale, Key Lake, Cameco
CIGAR LAKE
- Lloyd Rowson, vice-président, services techniques, Cigar Lake,
Cameco
INKAI
- Sergey Ivanov, directeur général adjoint, services techniques,
Cameco Kazakhstan LLP
Avertissement concernant les énoncés prospectifs
Le présent communiqué de presse inclut des déclarations et
informations sur nos attentes pour l’avenir, que nous considérons
comme des énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs sont basés
sur notre point de vue actuel, qui peut varier considérablement, et
les résultats et événements réels sont susceptibles de différer
sensiblement de ceux que nous prévoyons à l’heure actuelle. Voici
des exemples d’énoncés prospectifs dans ce communiqué de presse :
notre avis concernant la dynamique positive de l’énergie nucléaire,
son soutien continu sur l'ensemble du cycle et la transition de
certains secteurs vers des sources d’énergie fournissant une
électricité propre, constante et fiable ; les répercussions des
événements géopolitiques sur les stratégies d'approvisionnement des
clients en combustible nucléaire, et notre attente que Cameco et
Westinghouse bénéficieront du fait qu’elles possèdent des
opérations sous licence et autorisées dans des juridictions stables
sur le plan géopolitique ; notre stratégie en matière de
portefeuille de contrats et notre prévision que nous profiterons
d’un potentiel haussier accru, créant de la valeur et offrant une
forte génération de trésorerie par son biais et grâce à notre
portefeuille croissant d’activités en discussion ; notre vision
d’alimenter un monde d'air pur et notre conviction quant à la
capacité de notre stratégie à y parvenir d’une manière reflétant
nos valeurs ; notre engagement à faire face aux risques et
opportunités qui, selon nous, rendront notre entreprise durable sur
le plus long terme ; notre ambition d’atteindre les prévisions pour
2024 fournies dans notre rapport de gestion 2023, y compris la
forte génération de trésorerie prévue, notre chiffres d’affaires
consolidé estimé et notre part dans le BAIIA ajusté et la perte
nette de Westinghouse pour 2024 ; des coûts d’achat à Inkai
supérieurs attendus, leur impact cash sur le coût unitaire moyen
des ventes et notre attente d’une compensation partielle par le
biais des dividendes que nous recevons de la coentreprise Inkai ;
nos estimations de production pour 2024 sur les sites de McArthur
River/Key Lake et de Cigar Lake ; nos attentes quant à un retour à
notre structure tarifaire de niveau 1 avec une amélioration des
prix, notre augmentation attendue de la production de conversion
d’UF 6 et notre attente d’une forte génération de trésorerie en
2024 ; notre intention de donner la priorité au remboursement du
principal restant dû sur le prêt à terme utilisé pour financer
l’acquisition de Westinghouse ; nos plans de refinancement de notre
débenture de premier rang non garantie arrivant à maturité le 24
juin 2024 ; nos attentes concernant le rendement financier de la
coentreprise Inkai en 2024 et le bénéfice que nous recevrions de
dividendes futurs ; nos attentes concernant la réception des
livraisons d’Inkai cette année, l’objectif de production de la
coentreprise Inkai, sa capacité à obtenir des volumes suffisants
d’acide sulfurique et notre capacité à faire appel à d'autres
sources d’approvisionnement pour limiter le risque de déficits ou
retards de production au niveau des livraisons attendues d’Inkai ;
notre point de vue que les perspectives commerciales à long terme
pour Westinghouse continuent de s’améliorer ; ainsi que la date
prévue de l’annonce de nos résultats pour le deuxième trimestre
2024.
Les risques importants qui pourraient conduire à des résultats
différents comprennent : des changements inattendus affectant
l’offre, la demande, les contrats à long terme et les prix de
l’uranium ; des changements affectant la demande des consommateurs
pour l’énergie nucléaire et l’uranium induits par l’évolution des
opinions et des objectifs sociétaux à l’égard de l’énergie
nucléaire, de l’électrification et de la décarbonation ; le risque
que nos opinions concernant l’énergie nucléaire, son profil de
croissance et ses avantages se révèlent erronées ; le risque que
nous ne soyons pas en mesure d’atteindre les niveaux de production
anticipés dans les délais prévus pour Cigar Lake et McArthur
River/Key Lake, ou que les coûts impliqués pour y parvenir
dépassent nos attentes ; le risque que les niveaux de production à
Inkai n’atteignent pas les niveaux attendus ou que le société ne
soit pas en mesure de livrer sa production ; les risques pour les
activités de Westinghouse associés à de potentielles perturbations
de la production, à la mise en œuvre de ses objectifs commerciaux,
à la conformité avec les exigences en matière de permis ou
d’assurance qualité, ou que la société n’atteigne pas la croissance
attendue ; le risque que nous ne soyons pas en mesure de respecter
nos engagements de vente pour quelque raison que ce soit ; les
risques pour nos activités associés à de potentielles perturbations
de la production, y compris ceux liés aux perturbations de la
chaîne d’approvisionnement mondiale, à l’incertitude économique
mondiale, à la volatilité politique, aux problèmes de relations de
travail et aux risques opérationnels ; le risque que nous ne soyons
pas en mesure de réaliser nos objectifs commerciaux d’une manière
compatible avec nos valeurs écologiques, sociales, de gouvernance
et autres valeurs ; le risque que la stratégie que nous poursuivons
s’avère infructueuse ou que nous ne soyons pas en mesure de
l'exécuter avec succès ; le risque que nous ne réalisions pas les
bénéfices attendus de l’acquisition de Westinghouse ; le risque que
Westinghouse ne soit pas en mesure de concrétiser ses objectifs
d’affaires d'une manière compatible avec nos valeurs écologiques,
sociales, de gouvernance et autres valeurs ; ainsi que le risque
que nous soyons retardés dans l’annonce de nos résultats financiers
futurs.
En présentant les informations prospectives, nous avons formulé
des hypothèses importantes qui peuvent s’avérer incorrectes
concernant : la demande, l’offre, la consommation et les contrats à
long terme pour l’uranium, la croissance de la demande et
l’acceptation publique mondiale de l’énergie nucléaire, et les prix
; notre production, nos achats, nos ventes, nos livraisons et nos
coûts ; les conditions du marché et d’autres facteurs sur lesquels
nous avons fondé nos plans et prévisions futurs ; les discussions
concernant notre pipeline de contrats ; notre capacité à limiter
les conséquences indésirables des retards dans la livraison de
notre part de la production d’Inkai ; les hypothèses concernant la
production, les achats, les ventes, les livraisons et les coûts de
Westinghouse, l’absence de perturbations commerciales et la
réussite de ses plans et stratégies ; la réussite de nos plans et
stratégies, notamment concernant la production anticipée ;
l’absence de réglementations, politiques ou décisions
gouvernementales nouvelles ou défavorables ; qu’il n’y aura pas de
conséquences négatives significatives pour nos activités résultant
de perturbations de la production, y compris celles liées aux
perturbations de l’approvisionnement, ainsi qu’à l’incertitude et à
la volatilité économiques ou politiques, aux problèmes de relations
de travail, aux infrastructures vieillissantes et aux risques
opérationnels ; les hypothèses relatives à la croissance du BAIIA
ajusté de Westinghouse, ainsi que notre capacité à annoncer les
résultats financiers futurs aux dates prévues.
Veuillez également vous référer à la discussion dans notre
rapport de gestion 2023 et à notre plus récente notice annuelle
pour connaître les autres risques importants susceptibles de
provoquer un écart substantiel entre les résultats réels et nos
attentes actuelles, ainsi que d'autres hypothèses importantes que
nous avons formulées. Les informations prospectives sont conçues
pour vous aider à comprendre le point de vue actuel de la direction
sur nos perspectives à court et long terme et peuvent ne pas
convenir à d'autres fins. Nous ne mettrons pas nécessairement ces
informations à jour, à moins que les lois sur les valeurs
mobilières ne l'imposent.
Conférence téléphonique
Nous vous invitons à participer à notre conférence téléphonique
du premier trimestre le mardi 30 avril 2024 entre 8h00 et 9h00,
heure de l’est.
La conférence sera ouverte à tous les investisseurs et aux
médias. Pour y participer, composez le (800) 319-4610 (Canada et
États-Unis) ou le (604) 638-5340. Un opérateur vous mettra en
relation avec la conférence. Les diapositives et la webdiffusion en
direct de la conférence téléphonique seront accessibles en cliquant
sur un lien indiqué à l’adresse cameco.com. Ce lien figurera sur
notre page d’accueil le jour de la conférence.
Une version enregistrée des débats sera disponible :
- sur notre site internet, cameco.com, juste après la
conférence
- en post-view jusqu’à minuit, heure de l’est, le 30 mai 2024, en
appelant le (855) 669-9658 (Canada et États-Unis) ou le (604)
674-8052 (code d’accès 0802)
Date de publication du rapport du deuxième trimestre
2024
Nous prévoyons d’annoncer nos résultats du deuxième trimestre
2024 avant l’ouverture des marchés, le mercredi 31 juillet
2024.
À propos de Cameco
Cameco est l’un des plus grands fournisseurs mondiaux du
combustible d’uranium indispensable pour alimenter en énergie un
monde d’air pur. Nous devons notre position concurrentielle au fait
que nous détenons le contrôle des plus grandes réserves à haute
teneur au monde, avec des opérations à faible coût, ainsi que des
investissements importants dans le cycle du combustible nucléaire,
y compris des participations dans Westinghouse Electric Company et
Global Laser Enrichment. Dans le monde entier, des services publics
comptent sur Cameco pour fournir des solutions globales de
combustible nucléaire pour produire une électricité nucléaire sûre,
fiable et zéro carbone. Les actions de Cameco sont cotées aux
bourses de Toronto et de New York. Notre siège social est situé à
Saskatoon, dans la province de la Saskatchewan au Canada.
Tels qu’utilisés dans le présent communiqué de presse, les
termes « nous », « notre », « nos », « Société » et « Cameco »
désignent Cameco Corporation et ses filiales, sauf mention
contraire.
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune
manière être considéré comme officiel. La seule version du
communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue
d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte
source, qui fera jurisprudence.
Consultez la
version source sur businesswire.com : https://www.businesswire.com/news/home/20240429754300/fr/
Relations avec les investisseurs : Cory Kos 306-716-6782
cory_kos@cameco.com
Relations avec les médias : Veronica Baker 306-385-5541
veronica_baker@cameco.com
Clear Channel Outdoor (NYSE:CCO)
Gráfica de Acción Histórica
De Dic 2024 a Ene 2025
Clear Channel Outdoor (NYSE:CCO)
Gráfica de Acción Histórica
De Ene 2024 a Ene 2025