Imperial Oil Limited (TSX, NYSEAM: IMO):
- Un bénéfice net de 392 millions de dollars lors du premier
trimestre de 2021
- Des flux de trésorerie issus d’activités d’exploitation de plus
de 1 milliard de dollars lors du premier trimestre
- Un rendement financier amélioré pour tous les secteurs
commerciaux, comparativement au quatrième trimestre
- Une production record au premier trimestre depuis plus de 30
ans pour le secteur Amont, grâce à la production brute record au
site de Kearl
- L’Impériale rétablit un important programme d’achat d’actions
en vue de racheter jusqu’à quatre pour cent des actions ordinaires
en circulation d’ici le 28 juin 2021
- Le dividende mensuel a augmenté de près de 23 %, passant de 22
cents à 27 cents par action
Premier trimestre
en millions de dollars canadiens, sauf
indication contraire
2021
2020
∆
Bénéfice (perte) net (PCGR des
États-Unis)
392
(188)
+580
Bénéfice (perte) net par action ordinaire
– compte tenu d’une dilution (en dollars)
0,53
(0,25)
+0,78
Dépenses en immobilisations et frais
d’exploration
163
331
-168
L’Impériale a déclaré un bénéfice net estimé de 392 millions de
dollars au premier trimestre de 2021, attribuable à l’augmentation
des prix du brut, au solide rendement d’exploitation et au maintien
d’une rigueur dans les coûts pour l’ensemble des secteurs
commerciaux et favorisé par l’amélioration des marges sur les
produits pétroliers et les produits chimiques, comparativement au
quatrième trimestre.
Au cours du premier trimestre de 2021, les flux de trésorerie
générés par les activités d’exploitation de la compagnie se sont
élevés à 1 045 millions de dollars, contre 423 millions de dollars
au cours de la même période en 2020. Les flux de trésorerie générés
par les activités d’exploitation, hors le fonds de roulement1, se
sont élevés à 1 068 millions de dollars, comparativement à 611
millions de dollars pour la période correspondante de 2020.
« L’Impériale a adopté des mesures décisives afin de traverser
la tempête économique qui a déferlé sur 2020, dont des
améliorations fondamentales à sa structure de coûts et l’avancée de
projets essentiels, assurant ainsi le bon positionnement de la
compagne afin de tirer pleinement parti de l’amélioration des
conditions du marché », a déclaré Brad Corson, président du conseil
d’administration, président et chef de la direction. « Les
retombées de cette approche sont à la base de notre bon rendement
ce trimestre. Je suis extrêmement fier de notre capacité à obtenir
ces résultats tout en respectant notre engagement de prendre soin
de nos employés, de nos collectivités et de l’environnement. »
La production du secteur amont pour le premier trimestre s’est
établie en moyenne à 432 000 barils d’équivalent pétrole brut par
jour, la production de premier trimestre la plus élevée en 30 ans.
La production brute totale du site Kearl s’est établie en moyenne à
251 000 barils par jour, décrochant un nouveau record de production
pour chaque mois du premier trimestre.
Dans le secteur aval, le débit moyen était de 364 000 barils par
jour et le taux d’utilisation de 85 % au premier trimestre, contre
359 000 barils par jour au quatrième trimestre de 2020. Les ventes
de produits pétroliers étaient de 414 000 barils par jour, par
rapport à 416 000 barils par jour lors du quatrième trimestre de
2020. Malgré la faiblesse persistante de la demande, le bénéfice
net du secteur aval s’est établi à 292 millions de dollars pour le
premier trimestre, contre 186 millions de dollars pour le quatrième
trimestre de 2020, une hausse principalement attribuable à la
vigueur des marges.
Conformément à l’engagement de longue date de la compagnie
envers ses actionnaires, l’Impériale a modifié son programme de
rachat d’actions existant et prévoit acheter jusqu’à quatre pour
cent des actions ordinaires en circulation (au 15 juin 2020) d’ici
le 28 juin 2021. De plus, l’Impériale a déclaré un dividende de 27
cents par action pour le deuxième trimestre, ce qui représente une
augmentation de près de 23 %. « Ces actions témoignent du robuste
rendement financier de la compagnie et de sa confiance en l’avenir.
Elles démontrent notre engagement continu de distribuer de la
trésorerie aux actionnaires », a continué M. Corson.
Faits saillants du premier trimestre
- Le bénéfice net a été de 392 millions de dollars, ou de 0,53
dollar par action sur une base diluée, comparativement à une
perte nette de 188 millions de dollars, ou 0,25 dollar par action
au premier trimestre de 2020. Bénéfice net, hors les éléments
identifiés¹, de 392 millions de dollars au premier trimestre de
2021, contre 93 millions de dollars pour la même période en
2020.
- Les flux de trésorerie générés par les activités
d’exploitation se sont élevés à 1 045 millions de dollars,
comparativement à 423 millions de dollars pour la période
correspondante de 2020. Les flux de trésorerie générés par les
activités d’exploitation, hors le fonds de roulement¹, se sont
élevés à 1 068 millions de dollars, comparativement à 611 millions
de dollars pour la période correspondante de 2020.
- Les dépenses en immobilisations et frais d’exploration ont
totalisé 163 millions de dollars, comparativement à 331
millions de dollars au premier trimestre de 2020. La compagnie
continue de prévoir des dépenses en immobilisations et frais
d’exploration de 1,2 milliard de dollars pour l’exercice complet de
2021.
- Les dividendes payés ont totalisé 162 millions de dollars ou
0,22 dollar par action, contre 164 millions de dollars ou 0,22
dollar par action au premier trimestre de 2020.
- L’élargissement du programme de rachat d’actions repose sur
une solide situation financière. En avril, le programme a été
modifié afin de permettre à l’Impériale d’acheter jusqu’à quatre
pour cent de ses actions ordinaires en circulation (au 15 juin
2020), soit environ 29 363 070 d’actions, au cours d’une période de
2 mois se terminant le 28 juin 2021. En ligne avec la robustesse du
bilan de la compagnie, ses faibles exigences de capital et son
impressionnante génération de liquidités, cette modification
atteste de la priorité qu’accorde la compagnie aux actionnaires et
de la capacité de cette dernière à leur distribuer de la
trésorerie.
- La production s’est élevée en moyenne à 432 000 barils
d’équivalents pétrole brut par jour, contre 419 000 barils par
jour à la même période en 2020.
- La production brute totale au site de Kearl s’est établie en
moyenne à 251 000 barils par jour (la part de l’Impériale se
chiffrant à 178 000 barils), en hausse par rapport à 226 000 barils
par jour (la part de l’Impériale se chiffrant à 160 000 barils) au
premier trimestre de 2020. L’actif a décroché de nouveaux records
de production pour chaque mois du premier trimestre; la production
plus élevée étant principalement attribuable à des installations de
concassage supplémentaires.
- La production brute moyenne de bitume au site de Cold Lake
s’est établie à 140 000 barils par jour, conforme aux 140 000
barils par jour au premier trimestre de 2020.
- La quote-part de la compagnie dans la production brute de
Syncrude s’est élevée en moyenne à 79 000 barils par jour, une
hausse par rapport à 73 000 barils par jour au premier trimestre de
2020.
- Le débit moyen des raffineries était de 364 000 barils par
jour, par rapport à 383 000 barils par jour au cours du premier
trimestre de 2020. L’utilisation des capacités de production était
de 85 %, contre 91 % au premier trimestre de 2020. La baisse du
débit des raffineries était principalement attribuable par la
faiblesse de la demande du marché en raison de la pandémie de
COVID-19.
- Les ventes de produits pétroliers étaient de 414 000 barils
par jour, par rapport à 462 000 barils par jour lors du premier
trimestre de 2020. La baisse des ventes de produits pétroliers est
principalement attribuable à la réduction de la demande en raison
de la pandémie de COVID-19.
- Le bénéfice net du secteur Produits chimiques était de 67
millions de dollars au trimestre, contre 21 millions de dollars
au premier trimestre de 2020.
- Le projet de récupération assistée par injection de vapeur
additionnée de liquide (la technique « LASER ») à l’usine Mahkeses
du site Cold Lake a été lancé avec succès. Ce dernier
déploiement de la technologie de récupération améliorée des
solvants de l’Impériale améliore la productivité et devrait
permettre une réduction de l’intensité des émissions de gaz à effet
de serre pouvant atteindre 25 % pour la production visée.
- L’Impériale a publié son rapport de développement durable
mis à jour. La mise à jour met en lumière les actions et les
résultats de la compagnie dans le contexte des principales facettes
de la durabilité. La rubrique détaillée du rapport sur le climat
comprend des estimations des émissions de niveau 3 et recense les
efforts de l’Impériale en vue de tracer de nouvelles voies vers un
avenir carboneutre.
- L’Impériale a fourni 2,5 millions de dollars supplémentaires
en carburant gratuit à 100 000 travailleurs de première ligne en
soins de santé en reconnaissance de leur service inlassable. Il
s’agit de la deuxième campagne des héros des soins de santé lancée
par l’Impériale pendant la pandémie; 2 millions de dollars sous la
forme de cartes de carburant gratuites ont été remis à 80 000
travailleurs en soins de santé en 2020.
1 Mesure non conforme aux PCGR – Se
reporter à l’Annexe VI pour la définition et le rapprochement
Comparaison des premiers trimestres de 2021 et de
2020
Au début de l’année 2020, deux effets perturbateurs importants
ont touché l’équilibre de l’offre et de la demande de produits
pétroliers et pétrochimiques. En ce qui concerne la demande, la
pandémie de COVID-19 s’étant propagée rapidement dans la plupart
des régions du monde, les activités commerciales et de consommation
ont fortement diminué, et la demande de pétrole brut, de gaz
naturel et de produits pétroliers a chuté. Cette baisse de la
demande a coïncidé avec l’annonce d’une augmentation de la
production dans certains des principaux pays producteurs de
pétrole, ce qui a fait augmenter le niveau des stocks et fléchir
les prix du pétrole brut, du gaz naturel et des produits
pétroliers.
Bien que la demande ait considérablement rebondi, les effets
persistants de la faible conjoncture commerciale en 2020 ont
continué de miner les résultats financiers de 2021 comparativement
aux périodes closes avant que la pandémie n’éclate. Des signes
d’amélioration se profilent à l’horizon, notamment des prix plus
élevés du pétrole brut et du gaz naturel pour l’ensemble du
trimestre et une hausse des marges des secteurs aval et Produits
chimiques.
La compagnie a enregistré un bénéfice net de 392 millions de
dollars, soit 0,53 dollar par action sur une base diluée, au
premier trimestre 2021, par rapport à une perte nette de 188
millions de dollars, soit 0,25 dollar par action, pour la même
période en 2020. Les résultats du premier trimestre de 2020
tenaient compte des charges hors trésorerie de 281 millions de
dollars pour la réévaluation des stocks de la compagnie.
Le secteur amont a enregistré un bénéfice net de 79 millions de
dollars au cours du premier trimestre de 2021, contre une perte
nette de 608 millions de dollars durant la même période en 2020.
L’amélioration des résultats témoigne des réalisations plus élevées
d’environ 700 millions de dollars et de l’absence de la charge hors
trésorerie de 229 millions de dollars de l’exercice précédent,
associée à la réévaluation des stocks de la compagnie. Ces éléments
ont été partiellement compensés par les redevances plus élevées
d’environ 100 millions de dollars, des effets de change
défavorables d’environ 70 millions de dollars et des charges
d’exploitation plus élevées d’environ 60 millions de dollars.
Le prix moyen du West Texas Intermediate (WTI) s’est établi à
58,14 dollars américains le baril au premier trimestre de 2021, une
hausse par rapport à 45,78 dollars américains par baril au cours du
même trimestre de 2020. Le cours moyen du Western Canada Select
(WCS) s’est établi en moyenne à 45,64 dollars américains le baril,
contre 25,60 dollars américains le baril pour les mêmes périodes.
Le différentiel entre WTI et WCS s’est établi en moyenne à environ
13 dollars américains par baril au premier trimestre de 2021,
comparativement à environ 20 dollars américains pour la même
période en 2020.
Le dollar canadien valait en moyenne 0,79 dollar américain au
premier trimestre 2021, soit une augmentation de 0,05 dollar
américain depuis le premier trimestre 2020.
Le prix moyen que l’Impériale a touché en dollars canadiens pour
le bitume a augmenté au cours du trimestre, principalement en
raison de l’augmentation du WCS. Le prix moyen obtenu pour le
bitume s’est élevé à 47,19 dollars le baril pour le premier
trimestre de 2021, comparativement à 18,08 dollars le baril au
premier trimestre de 2020. Le prix moyen que la compagnie a touché
en dollars canadiens pour le pétrole brut synthétique a augmenté de
façon générale conformément au WTI, rajusté pour tenir compte des
variations des taux de change et des frais de transport. Le prix
moyen obtenu pour le pétrole brut synthétique s’est établi à 67,41
dollars le baril au premier trimestre de 2021, en hausse par
rapport aux 58,94 dollars le baril touchés au cours du même
trimestre de 2020.
La production brute totale de bitume de Kearl s’est établie en
moyenne à 251 000 barils par jour au premier trimestre (la part de
l’Impériale se chiffrant à 178 000 barils), en hausse par rapport à
226 000 barils par jour (la part de l’Impériale se chiffrant à 160
000 barils) au premier trimestre de 2020. L’augmentation de la
production était principalement attribuable aux installations de
concassage supplémentaires.
La production brute moyenne de bitume de Cold Lake s’est établie
à 140 000 barils par jour au premier trimestre, conforme aux 140
000 barils par jour pour la même période de 2020.
La quote-part de la compagnie dans la production brute de
Syncrude s’est élevée en moyenne à 79 000 barils par jour, une
hausse par rapport à 73 000 barils par jour au premier trimestre
2020.
Le secteur aval a enregistré un bénéfice net de 292 millions de
dollars au premier trimestre de 2021, au lieu d’un bénéfice net de
402 millions de dollars pour la même période en 2020. Les résultats
ont été affectés négativement par une baisse des marges d’environ
150 millions de dollars et par les volumes de ventes d’environ 60
millions de dollars moins élevés. Ces éléments ont été
partiellement compensés par l’absence de la charge hors trésorerie
de l’exercice précédent de 52 millions de dollars, associée à la
réévaluation des stocks de la compagnie, et à la baisse des charges
d’exploitation d’environ 50 millions de dollars.
Le débit moyen des raffineries était de 364 000 barils par jour,
par rapport à 383 000 barils par jour au cours du premier trimestre
de 2020. L’utilisation des capacités de production était de 85 %,
contre 91 % au premier trimestre de 2020. La baisse du débit des
raffineries était principalement attribuable par la faiblesse de la
demande du marché en raison de la pandémie de COVID-19.
Les ventes de produits pétroliers étaient de 414 000 barils par
jour, par rapport à 462 000 barils par jour lors du premier
trimestre de 2020. La baisse des ventes de produits pétroliers est
principalement attribuable à la réduction de la demande en raison
de la pandémie de COVID-19.
Le bénéfice net du secteur Produits chimiques était de 67
millions de dollars au premier trimestre, contre 21 millions de
dollars au premier trimestre de 2020.
Les Comptes non sectoriels et autres ont affiché un solde de 46
millions de dollars au deuxième trimestre, comparativement à un
solde de 3 millions de dollars pour la période correspondante de
2020, attribuable en grande partie à la hausse des coûts liée à la
rémunération à base d’actions.
Les flux de trésorerie générés par les activités d’exploitation
se sont élevés à 1 045 millions de dollars au premier trimestre,
contre 423 millions de dollars pour la période correspondante de
2020, reflétant principalement des réalisations améliorées du
secteur Amont.
Les activités d’investissement ont utilisé des flux de
trésorerie nets de 147 millions de dollars au premier trimestre,
comparativement à 308 millions de dollars pour la même période en
2020, reflétant principalement une réduction des acquisitions
d’immobilisations corporelles.
Les liquidités affectées aux activités de financement
s’élevaient à 202 millions de dollars au cours du premier
trimestre, comparativement à 445 millions de dollars au cours du
premier trimestre de 2020. Les dividendes payés au cours du premier
trimestre de 2021 s’élevaient à 162 millions de dollars. Le
dividende par action versé au premier trimestre a été de 0,22
dollar, à l’instar de la période correspondante de 2020. La
compagnie n’a pas acheté d’actions au cours du premier trimestre.
Au premier trimestre de 2020, la compagnie a racheté environ 9,8
millions d’actions pour 274 millions de dollars, ce qui comprend
les actions rachetées à la société Exxon Mobil Corporation.
Le solde de trésorerie s’établissait à 1 467 millions de dollars
au 31 mars 2021, comparativement à 1 388 millions de dollars à la
fin du premier trimestre de 2020.
Au 31 mars 2021, en raison de la résiliation des ententes de
services de transport liées à un projet de pipeline tiers, la
compagnie a comptabilisé un passif de 62 millions de dollars,
précédemment déclaré comme passif éventuel à la note 10 du
formulaire 10-K de l’Impériale. Dans le cadre du même projet, les
engagements du poste « Autres contrats d’achat à long terme »
indiqués dans le formulaire 10-K de l’Impériale ont diminué
d’environ 2,9 milliards de dollars. La majorité de ces engagements
concernaient les années 2026 et au-delà.
Au 30 avril 2021, la compagnie a annoncé une modification de
l’offre publique de rachat ordinaire pour augmenter le nombre
d’actions ordinaires qu’elle peut acheter. En vertu de cette
modification, le nombre d’actions ordinaires pouvant être rachetées
augmentera jusqu’à un maximum de 29 363 070 actions ordinaires
entre le 29 juin 2020 et le 28 juin 2021, cela comprend les actions
rachetées dans le cadre de l’offre publique de rachat ordinaire et
de la société ExxonMobil Corporation, une opération réalisée
concurremment, mais hors de l’offre publique de rachat ordinaire.
Aucune autre provision de l’offre publique de rachat dans le cours
normal des activités n’a été modifiée. La compagnie compte
actuellement maximiser les rachats d’actions en vertu de ce
programme. Les plans de rachat peuvent être modifiés à tout moment
sans préavis.
Des données financières et d’exploitation clés suivent.
Énoncés prospectifs
Les énoncés contenus dans le présent rapport qui sont liés à des
situations ou événements futurs, y compris les prévisions, les
objectifs, les attentes, les estimations et les plans d’affaires,
sont des énoncés prévisionnels. Les énoncés prospectifs peuvent
être caractérisés par des termes comme croire, anticiper, avoir
l’intention de, proposer, planifier, objectif, viser, projeter,
prévoir, cibler, estimer, s’attendre à, stratégie, perspectives,
calendrier, futur, continuer, probable, pouvoir, devoir, sera et
d’autres termes semblables faisant référence à des périodes
futures. Les énoncés prospectifs du présent rapport comprennent,
sans s’y limiter, des références aux plans de rachats en vertu du
programme de rachat d’actions modifié de la compagnie; les faibles
exigences de capital, l’impressionnante génération de liquidités,
la confiance en l’avenir et la priorité accordée aux actionnaires
et la capacité de la compagnie de leur distribuer de la trésorerie;
l’engagement en matière de durabilité, y compris les efforts en vue
de tracer des voies vers un avenir carboneutre; des dépenses en
immobilisations et frais d’exploration prévus de 1,2 milliard de
dollars pour l’exercice complet de 2021; le projet LASER de l’usine
Mahkeses du site Cold Lake permettant la réduction de l’intensité
des émissions de gaz à effet de serre et de l’utilisation de l’eau;
et des signes d’amélioration se profilant à l’horizon de la
conjoncture commerciale, notamment par les prix plus élevés du
pétrole brut et du gaz naturel et par la hausse des marges des
secteurs Aval et Produits chimiques. Les énoncés prospectifs sont
fondés sur les attentes, estimations, projections et hypothèses
actuelles de la compagnie au moment où les énoncés sont faits. Les
éléments suivants pourraient différer sensiblement selon un certain
nombre de facteurs : résultats financiers et d’exploitation futurs
réels, y compris attentes et hypothèses concernant la croissance de
la demande, la source d’énergie, l’approvisionnement en énergie et
le bouquet énergétique; prix des produits de base, taux de change
et conditions générales du marché; taux de production, croissance
et composition de la production; plans de projet, calendrier et
coûts des projets, évaluations techniques et capacités techniques,
ainsi que capacité de la compagnie d’exécuter efficacement ces
plans et à exploiter ses actifs; adoption et incidences de
nouvelles installations ou technologies, notamment sur la réduction
de l’intensité des émissions de gaz à effet de serre et de
l’utilisation de l’eau; progression de la COVID-19 et ses
répercussions sur la capacité de l’Impériale à exploiter ses
actifs, y compris lors de la fermeture éventuelle de ses
installations en raison d’éclosions de COVID-19; capacité de la
compagnie à exécuter efficacement ses plans de continuité des
activités et de mener ses activités d’intervention en cas de
pandémie; lois applicables et politiques gouvernementales, y
compris restrictions en réponse à la COVID-19; capacité de la
compagnie à réaliser des économies; génération de liquidités,
sources de financement et structure du capital; ainsi que dépenses
en capital et liées à l’environnement.
Ces facteurs comprennent les variations mondiales, régionales ou
locales de l’offre et de la demande de pétrole, de gaz naturel, de
produits pétroliers et de produits pétrochimiques ainsi que les
incidences sur les prix, les écarts et les marges qui en résultent,
y compris les mesures prises par les gouvernements étrangers en ce
qui concerne les niveaux d’approvisionnement et les prix et
l’incidence de la COVID-19 sur la demande; la disponibilité et la
répartition du capital; le transport pour accéder aux marchés; la
disponibilité et le rendement des fournisseurs de services tiers, y
compris à la lumière des restrictions liées à la COVID-19;
l’efficacité de la gestion et la préparation aux interventions en
cas de sinistre, y compris les plans de continuité des activités en
réponse à la COVID-19; les événements politiques ou réglementaires,
y compris les modifications apportées aux lois ou aux politiques
gouvernementales telles que les lois fiscales, la réduction de la
production et les mesures prises en réponse à la COVID-19; les
résultats des programmes de recherche et des nouvelles
technologies, et la capacité de commercialiser les nouvelles
technologies à un prix concurrentiel; les risques environnementaux
inhérents aux activités d’exploration et de production pétrolières
et gazières; la réglementation environnementale, y compris en ce
qui concerne les changements climatiques et les gaz à effet de
serre, ainsi que les modifications qui y sont apportées; les
difficultés techniques ou opérationnelles imprévues; la gestion de
projets, les calendriers et l’achèvement en temps opportun des
projets; l’obtention, en temps utile, des approbations
réglementaires et de tiers; les dangers et risques opérationnels;
les incidents liés à la cybersécurité; y compris la dépendance
accrue aux ententes de travail à distance et l’activation des plans
de continuité des activités en raison de la COVID-19; les taux de
change; la conjoncture économique générale; ainsi que d’autres
facteurs abordés au point 1A, facteurs de risque, et dans le
rapport de gestion au point 7 du rapport annuel le plus récent de
la Compagnie pétrolière Impériale Ltée sur formulaire 10-K.
Les énoncés prévisionnels ne garantissent pas le rendement futur
et comportent un certain nombre de risques et d’incertitudes, qui
sont parfois similaires à ceux d’autres sociétés pétrolières et
gazières, parfois exclusifs à la Compagnie pétrolière Impériale
Ltée. Les résultats réels de l’Impériale peuvent être sensiblement
différents des résultats implicites ou explicites selon les énoncés
prospectifs, et les lecteurs sont priés de ne pas s’y fier
aveuglément. L’Impériale ne s’engage aucunement à publier une mise
à jour de toute révision des énoncés prospectifs contenus aux
présentes, sauf si la loi l’exige.
Dans ce communiqué, tous les montants en dollars sont exprimés
en dollars canadiens, sauf indication contraire. Ce communiqué doit
être lu en parallèle avec le formulaire 10-K le plus récent de
l’Impériale. Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne
pas correspondre au total indiqué.
Le terme « projet » tel qu’il est utilisé dans ce rapport peut
renvoyer à toute une gamme d’activités différentes et n’a pas
nécessairement le même sens que celui qu’on lui donne dans les
rapports sur la transparence des paiements au gouvernement.
Annexe I
Trois mois
en millions de dollars canadiens, sauf
indication contraire
2021
2020
Bénéfice (perte) net (PCGR des
États-Unis)
Total des produits et des autres
revenus
6 998
6 690
Total des dépenses
6 486
6 945
Bénéfice (perte) avant impôts
512
(255)
Impôts sur le bénéfice
120
(67)
Bénéfice (perte) net
392
(188)
Bénéfice (perte) net par action ordinaire
(en dollars)
0,53
(0,25)
Bénéfice (perte) net par action ordinaire
– compte tenu d’une dilution (en dollars)
0,53
(0,25)
Autres données financières
Gain (perte) à la vente d’actifs, après
impôts
2
6
Total des actifs au 31 mars
39 007
40 413
Total du passif au 31 mars
5 144
5 198
Capitaux propres au 31 mars
21 736
23 570
Capital utilisé au 31 mars
26 906
28 789
Dividendes déclarés sur les actions
ordinaires
Total
161
162
Par action ordinaire (en dollars)
0,22
0,22
Millions d’actions ordinaires en
circulation
Au 31 mars
734,1
734,1
Moyenne – compte tenu d’une dilution
735,7
738,9
Annexe II
Trois mois
en millions de dollars canadiens
2021
2020
Trésorerie et équivalents de trésorerie
à la fin de la période
1 467
1 388
Activités d’exploitation
Bénéfice (perte) net
392
(188)
Ajustements relatifs aux éléments hors
trésorerie :
Dépréciation et épuisement
494
453
Dépréciation d’actifs incorporels
-
20
(Gain) perte à la vente d’actifs
(3)
(7)
Dépréciation de l’inventaire à la valeur
marchande courante
-
281
Impôts sur les bénéfices reportés et
autres
60
43
Variations de l’actif et du passif
d’exploitation
(23)
(188)
Autres postes – montant net
125
9
Flux de trésorerie liés aux activités
d’exploitation
1 045
423
Activités d’investissement
Acquisitions d’immobilisations
corporelles
(167)
(310)
Produits de la vente d’actifs
7
9
Prêts à des sociétés dans lesquelles la
compagnie détient une participation en actions – montant net
13
(7)
Flux de trésorerie liés aux activités
d’investissement
(147)
(308)
Flux de trésorerie liés aux activités
de financement
(202)
(445)
Annexe III
Trois mois
en millions de dollars canadiens
2021
2020
Bénéfice (perte) net (PCGR des
États-Unis)
Secteur Amont
79
(608)
Secteur Aval
292
402
Produits chimiques
67
21
Comptes non sectoriels et autres
(46)
(3)
Bénéfice (perte) net
392
(188)
Produits et autres revenus
Secteur Amont
3 493
2 374
Secteur Aval
5 305
5 379
Produits chimiques
376
260
Éliminations/Comptes non sectoriels et
autres
(2 176)
(1 323)
Produits et autres revenus
6 998
6 690
Achats de pétrole brut et de
produits
Secteur Amont
1 834
1 650
Secteur Aval
4 020
3 769
Produits chimiques
209
140
Éliminations
(2 176)
(1 333)
Achats de pétrole brut et de produits
3 887
4 226
Production et fabrication
Secteur Amont
1 109
1 108
Secteur Aval
326
408
Produits chimiques
50
63
Éliminations
-
-
Production et fabrication
1 485
1 579
Frais de vente et frais
généraux
Secteur Amont
-
-
Secteur Aval
133
181
Produits chimiques
25
25
Éliminations/Comptes non sectoriels et
autres
31
(40)
Frais de vente et frais généraux
189
166
Dépenses en immobilisations et frais
d’exploration
Secteur Amont
85
231
Secteur Aval
68
76
Produits chimiques
2
9
Comptes non sectoriels et autres
8
15
Dépenses en immobilisations et frais
d’exploration
163
331
Frais d’exploration imputés au bénéfice du
secteur Amont inclus ci-dessus
2
1
Annexe IV
Données d’exploitation
Trois mois
2021
2020
Production brute de pétrole brut et de
liquides du gaz naturel (LGN)
(en milliers de barils par jour)
Kearl
178
160
Cold Lake
140
140
Syncrude
79
73
Classique
11
15
Total de la production de pétrole brut
408
388
LGN mis en vente
2
2
Total de la production de pétrole brut et
de LGN
410
390
Production brute de gaz naturel (en
millions de pieds cubes par jour)
131
176
Production d’équivalent pétrole brut
(a)
432
419
(en milliers de barils d’équivalent
pétrole par jour)
Production nette de pétrole brut et de
LGN (en milliers de barils par jour)
Kearl
173
154
Cold Lake
112
134
Syncrude
74
71
Classique
11
14
Total de la production de pétrole brut
370
373
LGN mis en vente
2
1
Total de la production de pétrole brut et
de LGN
372
374
Production nette de gaz naturel (en
millions de pieds cubes par jour)
127
172
Production nette d’équivalent pétrole
(a)
393
403
(en milliers de barils d’équivalent
pétrole par jour)
Ventes de brut fluidifié de Kearl
(en milliers de barils par jour)
248
220
Ventes de brut fluidifié de Cold
Lake (en milliers de barils par jour)
182
191
Ventes de LGN (en milliers de
barils par jour) (b)
-
2
Prix de vente moyens (en dollars
canadiens)
Bitume (le baril)
47,19
18,08
Pétrole synthétique (le baril)
67,41
58,94
Pétrole brut classique (le baril)
49,54
41,49
LGN (le baril)
31,16
9,26
Gaz naturel (le millier de pieds
cubes)
3,24
1,77
Débit des raffineries (en milliers
de barils par jour)
364
383
Utilisation de la capacité de
raffinage (en pourcentage)
85
91
Ventes de produits pétroliers (en
milliers de barils par jour)
Essence
198
232
Mazout domestique, carburant diesel et
carburéacteur
153
179
Mazout lourd
20
13
Huiles lubrifiantes et autres produits
43
38
Ventes nettes de produits pétroliers
414
462
Ventes de produits pétrochimiques
(en milliers de tonnes)
211
186
(a)
Gaz converti en équivalent pétrole à raison de six millions de
pieds cubes pour mille barils.
(b)
Les ventes de LGN de 2021 sont arrondies à 0.
Annexe V
Bénéfice (perte) net par
Bénéfice (perte) net (PCGR des
États-Unis)
action ordinaire – résultat dilué
(a)
en millions de dollars
canadiens
dollars canadiens
2017
Premier trimestre
333
0,39
Deuxième trimestre
(77)
(0,09)
Troisième trimestre
371
0,44
Quatrième trimestre
(137)
(0,16)
Exercice
490
0,58
2018
Premier trimestre
516
0,62
Deuxième trimestre
196
0,24
Troisième trimestre
749
0,94
Quatrième trimestre
853
1,08
Exercice
2 314
2,86
2019
Premier trimestre
293
0,38
Deuxième trimestre
1 212
1,57
Troisième trimestre
424
0,56
Quatrième trimestre
271
0,36
Exercice
2 200
2,88
2020
Premier trimestre
(188)
(0,25)
Deuxième trimestre
(526)
(0,72)
Troisième trimestre
3
-
Quatrième trimestre
(1 146)
(1,56)
Exercice
(1 857)
(2,53)
2021
Premier trimestre
392
0,53
(a)
Calculé à l’aide du nombre moyen
d’actions en circulation au cours de chaque période. La somme des
trimestres présentés peut ne pas correspondre au total de
l’exercice.
Annexe VI
Mesures financières non conformes aux PCGR
Certaines mesures incluses dans ce document ne sont pas
prescrites par les principes comptables généralement reconnus
(PCGR) des États-Unis. Ces mesures constituent des « mesures
financières non conformes aux PCGR » en vertu du règlement G de la
Securities and Exchange Commission. Le rapprochement de ces mesures
financières non conformes aux PCGR et de la mesure la plus
comparable selon les PCGR, ainsi que d’autres renseignements requis
par le présent règlement ont été fournis. Les mesures non conformes
aux PCGR n’ont pas de définition normalisée et, à ce titre, peuvent
ne pas être directement comparables aux mesures présentées par
d’autres sociétés et ne devraient pas se substituer aux mesures
financières conformes aux PCGR.
Flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation, hors le
fonds de roulement
Les flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation, hors
le fonds de roulement, sont le total des flux de trésorerie
provenant des activités d’exploitation moins les variations de
l’actif et du passif d’exploitation de la période. La direction
croit qu’il est utile pour les investisseurs de tenir compte de ces
chiffres pour comparer le rendement sous-jacent des activités de la
compagnie pour les périodes où il existe d’importants écarts d’une
période au niveau des variations du fonds de roulement. Les
variations du fonds de roulement correspondent aux « Variations de
l’actif et du passif d’exploitation », telles qu’elles sont
indiquées dans l’état consolidé des flux de trésorerie de la
compagnie et dans l’Annexe II du présent document. Cette mesure
évalue les flux de trésorerie au niveau de l’exploitation et, à ce
titre, n’inclut pas le produit de la vente d’actifs, tel que défini
dans les flux de trésorerie issus d’activités d’exploitation et de
vente d’actifs dans la rubrique Terminologie du formulaire 10-K
annuel de la compagnie.
Trois mois
en millions de dollars canadiens
2021
2020
Flux de trésorerie liés aux activités
d’exploitation
1 045
423
Moins les variations du fonds de
roulement
Variations de l’actif et du passif
d’exploitation
(23)
(188)
Flux de trésorerie liés aux activités
d’exploitation, hors le fonds de roulement
1 068
611
Flux de trésorerie disponible
Le flux de trésorerie disponible est le flux de trésorerie issu
des activités d’exploitation, moins les acquisitions
d’immobilisations corporelles et les placements en actions de la
société, plus le produit de la vente d’actifs. Cette mesure est
utilisée pour évaluer les liquidités disponibles pour les activités
de financement (y compris, mais sans s’y limiter, les dividendes et
les rachats d’actions) après des investissements dans
l'entreprise.
Trois mois
en millions de dollars canadiens
2021
2020
Flux de trésorerie liés aux activités
d’exploitation
1 045
423
Flux de trésorerie liés aux activités
d’investissement
Acquisitions d’immobilisations
corporelles
(167)
(310)
Produits de la vente d’actifs
7
9
Prêts à des sociétés dont la compagnie est
actionnaire – montant net
13
(7)
Flux de trésorerie disponible
898
115
Bénéfice (perte) net, hors les éléments identifiés
Le bénéfice (perte) net hors les éléments identifiés est le
bénéfice (perte) net total hors les événements non opérationnels
individuellement importants avec une incidence sur le bénéfice
total de l’entreprise d’au moins 100 millions de dollars au cours
d’un trimestre donné. L’incidence du bénéfice (perte) net d’un
élément identifié pour un secteur individuel peut être inférieure à
100 millions de dollars lorsque l’élément touche plusieurs
secteurs. La direction croit qu’il est utile pour les investisseurs
de tenir compte de ces chiffres pour comparer le rendement
sous-jacent des activités de la compagnie pour les périodes où
l’une des périodes, ou les deux, comprennent des éléments
identifiés. Tous les éléments identifiés sont présentés après
impôt.
Trois mois
en millions de dollars canadiens
2021
2020
Bénéfice (perte) net (PCGR des
États-Unis)
392
(188)
Moins les éléments identifiés compris dans
le bénéfice (perte) net
Évaluation des stocks hors espèces (selon
le coût ou la valeur marchande, si celle-ci est inférieure)
-
(281)
Sous-total des éléments identifiés
-
(281)
Bénéfice (perte) net, hors les éléments
identifiés
392
93
Coûts d’exploitation (coûts financiers)
Les coûts d’exploitation se consistent comme suit : (1)
Production et fabrication; (2) Frais de vente et frais généraux; et
(3) Exploration, dans l’état consolidé des résultats de la
compagnie et comme déclarés dans l’Annexe III du présent document.
La somme de ces postes de l’état des résultats sert d’indication
des coûts d’exploitation et ne représente pas les décaissements
totaux de la compagnie. Cette mesure est utile pour que les
investisseurs comprennent les efforts de la compagnie pour
optimiser la trésorerie grâce à une gestion disciplinée des
dépenses.
Rapprochement des coûts
d’exploitation
Trois mois
en millions de dollars canadiens
2021
2020
Extrait de l’état consolidé des
résultats de l’Impériale
Total des dépenses
6 486
6 945
Moins :
Achats de pétrole brut et de produits
3 887
4 226
Taxes d’accise fédérales et frais de
carburant
404
451
Dépréciation et épuisement
494
473
Retraite non liée aux services et
avantages postérieurs au départ à la retraite
11
30
Financement
14
19
Total des coûts d’exploitation
1 676
1 746
Composants des coûts
d’exploitation
Trois mois
en millions de dollars canadiens
2021
2020
Extrait de l’état consolidé des
résultats de l’Impériale
Production et fabrication
1 485
1 579
Frais de vente et frais généraux
189
166
Exploration
2
1
Coûts d’exploitation
1 676
1 746
Secteur Amont
1 111
1 109
Secteur Aval
459
589
Produits chimiques
75
88
Comptes non sectoriels/Éliminations
31
(40)
Coûts d’exploitation
1 676
1 746
Coûts d’exploitation unitaires (coûts unitaires)
Les coûts d’exploitation unitaires (coûts unitaires) sont
calculés à partir de la production totale brute d’équivalent
pétrole et sont calculés pour le segment Amont, ainsi que pour les
principaux actifs du secteur. Cette mesure est utile pour que les
investisseurs comprennent les efforts de gestion des dépenses
déployés pour les principaux actifs de la compagnie à titre de
composants dans le cadre général du secteur Amont. Les coûts
d’exploitation unitaires, comme utilisés par la direction, ne
correspondent pas directement à la définition des « Coûts de
production unitaires moyens » énoncée par la Securities and
Exchange Commission (SEC) des États-Unis et indiquée dans le
formulaire SEC 10-K de la compagnie.
Trois mois
2021
2020
en millions de dollars canadiens
Secteur Amont (a)
Kearl
Cold Lake
Syncrude
Secteur Amont (a)
Kearl
Cold Lake
Syncrude
Production et fabrication
1 109
455
260
333
1 108
490
234
308
Frais de vente et frais généraux
-
-
-
-
-
-
-
-
Exploration
2
-
-
-
1
-
-
-
Coûts d’exploitation
1 111
455
260
333
1 109
490
234
308
Production brute d’équivalent pétrole
432
178
140
79
419
160
140
73
(en milliers de barils par jour)
Coûts d’exploitation unitaires (en
dollars par baril d’équivalent pétrole)
28,58
28,40
20,63
46,84
29,09
33,65
18,37
46,36
USD converti en fonction du taux de change
moyen en cumul annuel
22,57
22,44
16,30
37,00
21,52
24,90
13,59
34,31
2021 0,79 dollar américain; 2020 0,74
dollar américain
(a) Le secteur Amont comprend Kearl, Cold
Lake, la part de l’Impériale de Syncrude et d’autres.
Source: Imperial
Après plus d’un siècle d’existence, l’Impériale
demeure un acteur majeur dans la promotion de la technologie et de
l’innovation visant à mettre en valeur les ressources énergétiques
du Canada de façon responsable. Principal raffineur de produits
pétroliers du Canada, producteur incontournable de pétrole brut,
producteur clé de produits pétrochimiques et chef de file dans la
distribution de carburant à l’échelle du pays, notre entreprise
continue de viser les normes les plus élevées qui soient, et ce,
dans tous les secteurs d’activité.
Consultez la
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Imperial Oil (TSX:IMO)
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De Dic 2024 a Ene 2025
Imperial Oil (TSX:IMO)
Gráfica de Acción Histórica
De Ene 2024 a Ene 2025